Moins de 10 jours plus tard, j’ai perçu un contact longue d’environ 1 500 contenus, structurée en parties claires : d’abord due aux tirage de tarot de Marseille ( la carte du Pendu, symbole de détente et de prise de recul, puis on a la carte du Soleil, symbole de résultat et de bonheur ), puis l’analyse astronomique de mon thème solaire, et pour finir des avis très pratiques : Temps de compréhension : accorde-toi au minimum une semaine pour parcourir chaque option sans pression extérieure, note tes subis dans un carnet. Projets pilotes : lance deux micro‑projets de 2 semaines – comprendre une musique pour la musique, rédiger un danger sur un endroit intellectuel – afin de tester ta volonté réelle. Réseau pro : contacte gracieusement deux spécialistes de chaque domaine pour échanger, via mail ou réseaux sociaux, sur leurs parcours et indications. Rituel créateur : chaque matin, passe un quart d’heure à rencontrer ton avenir parfait dans chaque option, puis choisis une ordinaire de tous les jours de la semaine pour découvrir un atelier lié à la musique ou aux études envisagées.

Le lendemain, dans le secteur de midi, mon smartphone a chaviré : l’objet du mail était “Réponses dans la région de tes questions, de la part d’Olivier”. J’ai ouvert, et là, gros blessure : c’était pas un copier‑coller automatique. C’était un contenu voyance olivier de deux pages, efficacement structuré, où Olivier répondait aux environs de chaque question, détaillait son tirage de runes, expliquait les repères astrales et proposait des instigations très concrets : “Pour ton récipient, mets-toi un planning faisable de révisions, utilise la carte de l’Étoile pour te remémorer que tu as déjà les ressources, et visualise-toi réussir chaque contrôle. ” Il ajoutait un paragraphe sur mon disposition, évoquait mes emplois de cœur et les expériences possibles, et même un entouré sur la communication dans mon couple, avec un conseil de l’oracle pour modifier la confiance. En bouquinant, j’ai eu l’impression que une personne comprenait réellement ce que je vivais, comme un grand bonze bienfaisant. Et le top, c’est que je pouvais consulter ce mail à souhait, le maintenir, le partager avec qui je voulais, sans limite de temps.